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Hors RPG Pseudo :Meilla
Age : 14 ans
Aime :lire, écrire, le soccer, la musique, la musique encore de la musique, oh! es-ce que j'ai oubliée la musique?... Aime pas : les personnes qui remettent le contenant de lait dans le frigo avec seulement un petit fond de lait à l'interieur...Manga(s) préféré(s) : j'aime: inuyasha,vampire knight...Niveau RP : assez bon
Autres : à part que j'oublie TOUJOURS mes majuscules... In RPGPersonnage 1 :[i]Nom : ...donnez-moi deux petites années...
Prénom :Meilla
Âge :17 ans!!
Métier : être enfermée dans la forêt,ça compte?
Race : ...il n'y a pas de numéro au service que vous avez composé, euh de service au numéro que vous avez composé,laissez-moi un message après le «beep» beeeeeeeeeeeeppppppppp!!...
Rang : ...
Pays/Royaume natale : mars!
Caractère : Meilla est une fille farouche qui a le sens de la répartie sur le bout de la langue et qui ne se laisse pas impressionner par le premier venu. elle parraît toujours agressive et distante car elle ne veut pas prendre le risque de laisser quelqu'un s'approcher d'elle... ne la provoquez pas ou elle deviendra votre pire cauchemare...
Physique : Elle a de long cheveux gaufrés de couleur de la neige et son corp de cire est quelque peu délavé. elle porte une longue robe imaculée qui cache ses articulations de poupée de cire. son visage ne laisserait aucun garçons indifférent et ne laisse rien parraître de son état. elle n'est pas très grande pour son âge mais son corp est pourtant très bien formé, malgré son... handicap.
Histoire : mon histoire? *rire un peu sadique* eh bien...
je suis née un jour d'hivers peu après la nuit la plus longue de l'année. on dit que le temps altèrent le souvenir et pourtant je me rappelle de chaque détails de cette nuit fastueuse... tout a commencé lorsque mon père nous avoua à moi et ma mère qu'il avait d'énormes dettes au nom de ma mère. celle-ci fut coméplêtement détruite. pour rembourser l'énorme dette, elle du vendre son corp et elle refusait que j'en soit témoin alors elle trouva un endroit ou elle me mit en pension. le monsieur chez qui je vivais était assez effrayant et étrange et tout le monde aurait trouver ma mère irresponsable de me laisser entre les main mystérieuse de cet homme mais personne ne saura jamais la somme de la dette qui encombrait son compte bancaire. cet homme ne me parlait jamais, ni à moi ni à personne. il me nourissait et me logeait, c'est tout ce qui comptait pour ma mère. à cet époque j'avais à peine quatorze ans et les seules chose qui me faisais frémir chez lui étaient les soirs ou il rentrait tard à la maison et montait dans ma chambre les vêtement débraillés et qu'il se couchait dans mon lit, très près de moi. dans ces moments je faisais semblant de dormir mais son soufle rauque et court me paralysais. les années passaient et ma mère passait souvent me voir et jamais elle ne sut ce qui se passait dans la maison, je me refusait à lui aporter un fardeau de plus sur les épaules. la dette prenait de moins en moins d'empleur mais la santé de ma mère, elle, se dégradait.l'hivers après mon seixième anniversaire, ma mère mourrut d'une MTS et la douleur me fit sombrer dans le désespoir, enfin, ce que je croyait être le désespoir...
un jours de décembre, l'homme qui m'ébergeait, Michael de son nom, rentra à la maison avec une poupée de cire. son visage me rappellait celui de ma mère. malgré mon âge, cette poupée devint une des seules sources de bonheurs dans ma vie grise et sombre. le soir qui suivit, Michael revint à la maison tard mais malheureusement,ce soir, je n'était pas couchée. il m'ordonna d'aller l'attendre dans la voiture et je lui obéit car malgré la barrière insondable des monde qui me séparrait de cet homme, une affection imconpréhensible pour lui s'était épanouie dans mon coeur, petite, mince, frangile mais éxistante...pour le moment...
je n'emmenai avec moi que ma poupée et rien d'autre. il me conduisit à travers des rues dont les nom m'importait peu; une impression de danger omniprésent me tenaillait mais je ne pouvait rien faire d'autre qu'attendre que la distance qui me séparait de ma mort soit devenue inexistante.
il arrêta la voiture dans une si sombre que mes yeux ne pouvèrent rien distinguer. je commencai à me débattre; il me traina comme une poupée de chiffon jusqu'au lieu de mon suplice future. vous trouverez la comparaison... disons... très appropriée mais c'était là la réalité.
une cave souterraine, voilà ou se passa mon calvaire.je me demande encore aujourd'hui ce qui poussa mon bourreau à attendre toutes ces années avant d'agir. mon suplice commença le soir suivant; il revenait de je-ne-sais-où et il s'aproccha de moi, à quelque centimètre seulement de mon visage pour me gifler violament. il sortit sa ceinture et commença à me foueter pendant des heures et des heures. il conaissait son sujet, car, vous savez, lorsque la torture est telle que votre corp ne peut même plus penser, la peau s'engourdie sous la douleur, et le moindre efleurement devient le pire suplice et le coup le plus puissant, une douce carresse. il connaissait son art, il savait ce qui faisait mal, physiquement et mentalement. la douleur repousse toutes les valeurs, même les plus présentent. il me faisait faire des choses que jamais je n'aurais imaginé. mon suplice dura trois jours et, croyez-le ou non, mais pas une fois je ne dormai ou perdit connaissance. pendant un moment de sollitude je souhaitai que la mort vienne me prendre mais seul une voix masculine me parvenu, elle m'invita dans un monde merveilleux mais je devai payé un prix.toutes raison avait quittée mon corps et j'acceptai sans même réaliser le prix qui est maintenant mon dû. j'arrivai au pays des meirveille avec l'apparence de la poupée que je serrais à ce moment là dans ma main. je suis prisonnière de la forêt sombre et surveillée en permanence par quelqu'un dont personne ne connaît le visage, ni moi, ni personne. toutes les nuits lorsque je m'endors, je redevient une jeune fille normale et je parcoure la forêt en recherche de courageux aventurier qui je dois séduire pour mon gôelier et les ramener au vieux chateau qui est désormais ma prison et ma maison à la fois. mon corp de poupée reste dans le château, comme endormis.
je ne sais pas si je regrète mon choix ou non mais je suis sûre d'une chose;je serais probablement morte maintenant si je n'avait pas acceptée l'offre du rêve. la mort est-elle préférable au sort qui m'enchaine? moi-même je ne peut pas répondre à cette question.